Dans son œuvre de maturité, Rothko abandonne les référence spécifique à la nature pour peindre des images permettant des associations universelles. Dès la fin des années 1940, il développe un style dans lequel des rectangles aux contours brumeux et comme animés de pulsations flottent dans un format vertical. Il a expliqué que «cela n'a pas de lien direct avec une expérience visible particulière, mais on reconnaît dans ces formes les principe et la passion qui anime les organismes».