Murray présente sa cravate, ses chaussures, son costume, sa voiture comme des signes de réussite matérielle puis lui-même : il est riche, influent et très apprécié. Il parle de son trajet dans la vie.
Cette aisance, cette belle vie il la doit à une personne : son ami Joe. Sa mère en lui avait toujours donné qu'un conseil : "mange d'abord". Avec Joe, il distille de l'alcool durant la prohibition, voit du pays (surtout la boue et la misère). Lors d'une descente de police, Joe s'enfuit et Murray est arrêté. Sa mère lui rend visite en prison. Une fois sorti, Joe lui donne des conseils et Murray se fait tabasser.
A l'hôpital, il rencontre celle qui deviendra sa femme. Joe est comme un second père pour ses deux enfants qui lui ressemblent tellement qu'un "léger malentendu" se glisse entre Murray et Joe. Joe exige que le metteur en scène coupe le son durant le différent. La petite statuette de la justice qui trône sur le bureau de Murray semble faire peu de cas de sa colère : il accepte l'argent de Joe, et la voiture qu'il lui promet.
Le lendemain tous font la farandole autour de la nouvelle voiture.
Analogie avec tous les futurs films de gangsters et principalment Les affranchis : le souhait d'une belle vie comme gangster.
Editeur : Wild
Side Video, juin 2007. 2h40. Anglais sous-titré en Français.
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What's a Nice Girl Like You Doing in a Place Like This ? (0h09), It's Not Just You Murray ! (0h15) The Big Shave (0h06). ItalianAmerican (0h48) American Boy, un portrait de Steven Prince (0h54). Bonus : Présentations des films par Michael Henry Wilson (5 x 5) |