La neuvième (et dernière) scène dans l'ordre chronologique du récit, L'ivresse de Noé
Cet épisode est, dès saint Augustin interprété comme la préfiguration de la raillerie du Christ. L'humiliation du patriarche, provoquée par le fruit de la vigne, est mot à mot celui qui s'humilie en acceptant de s'incarner dans la "vigne" d'Israel.