Comme l'observe le romancier et critique d’art Émile Zola lors du salon de 1874, les œuvres qui passionnent le public sont "les scènes tragiques de la dernière guerre" qui s’est soldée par la défaite de la France face à la Prusse. Ces peintures et ces sculptures résonnent auprès des visiteurs, qu’il s’agisse de représentations directes, comme Mort en lignes !, ou nettement plus symboliques comme ce tableau évoquant le sacrifice et le deuil.