les dogons habitent au sud de Tombouctou, surdes nids d'aigle au peid des falaises qui els ont protégés des peuls ou lds colonnes françaises. Des habitations sont construites dans toutes les anfractuosités. Il suffit de grimper aux arbres pour que les chèvres reçoivent leur nourriture céleste. Mais l'eau difficile à trouver dans des entonnoirs très profonds. L'eau boueuse des rivières est utilisée pour la culture de l'oignon, pillé pour enlever l'eau et mis à sécher. Une Consultation au médecin pour enfant malade se paiera d'une boulette d'oignon.
Les autels sont blanchis à la bouille de mil pour les sacrifices.
Sur la palce les equilibreurs de pierre, constuisent le socle sur lequel seront
déposées les bottes de mil. Les maisons du village, très
agglomérées, sont faites de briques de terre et d paille hachée.
on y laisse la trace des doigts pour faciliter la prise du mortier. La
Poterie est une technique qui a peu progressé chez les dogons : ébauche,
un galet la creuse puis matée sur un tapis tressé. Le tissage
est le fait des hommes. Le métier à tisser millénaire
est dressé sur la place publique. Il habille une bonne partie de l'Afrique.
La culture du mil. La récolte mis en tas est d'abord pilonnée par les hommes. La mouture à la main sur des blocs de grès est faite par les femmes qui confectionnent ensuite des beignets à l'huile. La monnaie, le koris s'échange au cours de un franc pour cent koris. le cours est fluctuant . la pièce de cinq francs vaut entre 400 koris ou 700 koris au moment de payer l'impôt. A ce moment là, tous cherchent des francs car l'administration ne reconnaît pas le coquillage.
Mais les dogons ne sont pas matérialiste. Ils pensent au futur. Le devin prépare le sable de divination que les chacals viendront piétiner durant la nuit. "Qu'est-ce qui m'a rendu malade ?", la question est inscrite dans le sable, des graines d'arachides servant d'appât sont semées dans le sable. Au soleil levant, les traces laissées par le chacal sont longuement étudiées. Les avis sont partagés
Dans le sanctuaires des puissances totémiques;, le peintre peint un hérisson avec une plume de poule. Devant le sanctuaire d'un ancêtre, le prêtre procède au sacrifice sanglant, des animaux sacrés à l'image de l'ancêtre sont sacrifiés sur le toit. Avant la distribution de la viande, le foie doit être consommé par un autre animal sacré (tortue) qui représente le chef de la famille.
Humour un peu facile " comme vous le voyez les routes nationales sont un peu pénible pour le piéton "
Bonne conscience colonialiste : "C'est l'administration, bonne fille, qui a construit les escaliers... en pensant sans doute aux touristes" ou " Nous nous en voudrions de vous cacher quelques aspects de la vie intime de cette population laborieuse qui nous fait confiance et que nous avons la noble prétention d'élever jusqu'à nous."
Editeur : Montparnasse, février 2010. Coffret
4DVD.
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