Combat de cavaliers arabes
Théodore Chassériau, 1856
Huile sur toile, 65 x 54 cm
Paris, Musée du Louvre
C'est le souvenir de l'Algérie qui inspire Chassériau
la dernière année de sa vie. La furieuse mêlée des cavaliers évoque
d'analogues recherches de mouvement chez Rubens, Géricault ou Delacroix.